1re mise à jour à la communauté (23 février)

1re mise à jour à la communauté (23 février)

En début de journée, l’Université a été informée que les membres du SCFP 3903 représentant les auxiliaires d’enseignement (TA), les auxiliaires de recherche (GA) et les chargé·e·s de cours, ont voté en faveur d’une grève à partir de 0 h 1 le lundi 26 février.

Cet après-midi, après le vote, l’Université et le SCFP 3903 se sont rencontrés comme prévu pour les négociations collectives, mais aucun accord n’a été conclu pour le moment. Les négociations entre l’Université et le syndicat se poursuivront tout au long de la fin de semaine et de la semaine prochaine si les deux parties sont d’accord.

La priorité absolue de l’Université est de continuer à soutenir la communauté étudiante et l’apprentissage. Le Comité de direction du Sénat a fait savoir qu’en vertu du règlement du Sénat, tous les changements apportés à la prestation des cours durant les six premiers jours d’une interruption de travail seront gérés par les membres du corps enseignant et ne sont pas influencés par des déclarations ou des motions pour le compte d’un programme, d’un département ou du Conseil de la Faculté. Les étudiants et étudiantes recevront des informations directement de leurs enseignants et pourront également trouver des informations sur l’état de leurs cours sur le site Web Course Status 

Le Comité de direction du Sénat a également confirmé les points suivants :

  • Les cours et les activités qui peuvent se poursuivre continueront (y compris ceux de l’École de formation continue et dans des lieux hors campus).
  • Les enseignants ont la possibilité de modifier le mode de prestation de leurs cours en passant d’un enseignement en personne à un enseignement à distance si c’est le meilleur moyen de préserver l’intégrité universitaire et de poursuivre leurs cours pendant l’interruption de travail.
  • Tout changement apporté à l’organisation des cours doit être communiqué à l’avance aux étudiants et étudiantes par les enseignants dans eClass et signalé aux bureaux du doyen/de la doyenne ou du principal.

Des plans d’urgence pour tous les aspects du fonctionnement de l’université sont en place et seront mis en œuvre au besoin. Si l’interruption de travail se prolonge au-delà de six jours, l’Université fournira des conseils clairs et en temps opportun.