International student from India found passion, confidence in four years at York U
Naima Sood credits University community with encouraging her to pursue an impressive array of leadership roles.
Recently, as she prepared to graduate with a degree in sociology from York University, international student Naima Sood said she was leaving campus with a newfound confidence in her abilities and the freedom to use her voice, both of which she struggled to find growing up in New Delhi.
“I came from India feeling doubtful about myself, and York truly gave me an opportunity to become the person I am today,” said Sood, 22. “I definitely feel like I’m ready to take on what’s next for me, and if there are disappointments that come my way, York has better prepared me for that. York has prepared me for the journey ahead – the good, bad, the ugly, all of it. I’m ready to take it on.”
Over her four years at York’s Glendon College, Sood embodied the University’s mission to use her voice, experience and skills to create positive change.
She was a member of the Glendon student caucus, giving her a voice on programming choices when they were debated at faculty council meetings. She was a student representative on a committee to find a new principal for Glendon. She helped establish a Model United Nations on campus, and she was an executive on York’s UNICEF Club, which runs fundraising events and awareness campaigns about issues that impact children across Canada and the globe.
And, perhaps unsurprisingly, given her accomplishments, the University’s recruitment office hired her as a student ambassador to help prospective international students get a feel for life at Glendon.
Sood dreamed of studying abroad even before she was a teenager. Her father, who is head of operations for BBC in India and South Asia, and her mother, who teaches mindfulness, had always been supportive.
Sood arrived in Canada in 2017, after her father had travelled to Glendon to give her a virtual walking tour over FaceTime. Before long, she had fallen in love with Glendon’s surrounding north-Toronto neighbourhood, not far from the tony Bridal Path enclave, where enterprising sightseers can find rap star Drake’s opulent mansion.
But what she came to value most, as she settled into her studies, was the support she received from her peers, professors and University staff, who pushed her to reach again for leadership roles.
“When I came from high school, I didn’t really have faith in myself that I could do it, but with the peers and the environment that Glendon created, it gave me faith in my own abilities and re-instilled that, hey, I’m capable. I can do this.”
In the classroom, in the midst of all her extracurricular commitments, Sood dug deeper into the differences she was perceiving between life in India and in Canada, particularly migration policies and women’s rights. Through the coursework she completed for her minor in communications, she interrogated the implications of fake news and the explosion of social media. And she found time to pick up French, a language she had had only a passing grasp of in India.
Sood put her academic experience to use in real life, volunteering in a communications role for the Ontario Liberal Party during the four-week provincial election in 2018.
Today, Sood is trying to get a foothold in a career in communications as a content creator or production assistant. She hopes to use that as a springboard to one day produce a network series that shines a spotlight on the different practices of people and cultures around the globe, the kind of perspective her transition from India to Canada gave her when she was 18.
“The biggest thing that I’ve liked about Canada is the freedom that you have to voice your opinions, the freedom that you have to say things without a judgment being attached to them and the open policy we have of just listening to on another without any feeling of anger or hatred coming in,” she said.
Her parents travelled from India to watch her walk across the stage and collect her degree at convocation in June – York U’s first in-person convocation since the beginning of the CODD-19 pandemic.
She can stay in Canada on her student visa until 2023 after which she plans to lengthen her stay by applying for a work permit once she finds her first job.
“Hopefully, within the next six to eight months, I can land myself a job, which I’m passionate about and excited about. And then I can start the process of finding an apartment, finding a home and moving in – the adulting will truly begin.”
This year’s Glendon Convocation took place on Saturday, June 18, at Glendon Green. All 2020 and 2021 graduates who attended virtual ceremonies were also welcomed back to campus on that day in celebration of their degrees.
Une étudiante originaire d’Inde découvre sa passion, sa confiance et sa voix à Glendon
L’Université de York crée des changements positifs en encourageant les étudiants et étudiantes à explorer des rôles de leadership
L’étudiante internationale Naima Sood vient d’obtenir un baccalauréat en sociologie et en communication de l’Université York; elle quitte le campus non seulement avec un diplôme en poche, mais aussi avec une nouvelle confiance en ses capacités et la possibilité de faire entendre sa voix, deux choses qui étaient difficiles à New Delhi.
« J’avais quitté l’Inde remplie d’insécurité. York m’a permis de devenir la personne que je suis aujourd’hui, déclare Naima qui a maintenant 22 ans.
Je me sens prête à affronter ce que l’avenir me réserve; s’il y a des déceptions en cours de route, l’Université York m’aura bien préparé aux bonnes choses comme aux mauvaises choses, comme aux tribulations. Je peux tout encaisser. »
Depuis son enfance, Naima rêvait d’aller étudier à l’étranger. Son père, qui est directeur général de la BBC Inde/Asie du Sud, et sa mère, qui enseigne la pleine conscience, l’ont toujours soutenue.
Naima est arrivée au Canada en 2017. Son père s’était tout d’abord rendu en personne au campus Glendon de l’Université York pour le lui faire visiter virtuellement grâce à FaceTime. Elle explique qu’elle est tombée amoureuse de ce quartier cossu situé au nord de Toronto, près du Bridal Path où se trouve l’opulente demeure de Drake, la vedette de rap.
Mais à mesure de la progression de ses études, Naima a commencé à apprécier davantage le soutien de ses pairs, de ses professeurs et du personnel de l’Université et a réessayé de se lancer dans des rôles de leadership.
« Quand j’ai fini l’école secondaire, je ne croyais pas vraiment en moi. Grâce à mes pairs et à l’environnement que Glendon a créé, j’ai pris confiance en mes capacités et je me suis dit que je pouvais faire ça. »
Tout au long de ses quatre années d’études à York, Naima a incarné la mission de l’Université en utilisant sa voix, son expérience et ses compétences pour créer des changements positifs.
Elle a représenté la communauté étudiante en siégeant à un comité visant à trouver un nouveau principal pour le collège Glendon. Elle a contribué à la création d’un modèle des Nations Unies sur le campus qui permet aux étudiants et étudiantes de représenter des pays, des organisations ou des dirigeants lors de débats fictifs sur des questions internationales pressantes.
Elle a fait partie du caucus des étudiants de Glendon et a pu s’exprimer sur les choix de programmation quand ils étaient débattus lors des réunions du Conseil de la Faculté. Elle a également au nombre des leaders du club UNICEF de York, qui organise des collectes de fonds et des campagnes de sensibilisation aux problèmes qui touchent les enfants du Canada et du monde entier.
Le Bureau de recrutement de l’Université l’a engagée comme étudiante ambassadrice pour aider les futures cohortes d’étudiants internationaux à se faire une idée de la vie à Glendon.
En salle de classe, Naima a approfondi les différences qu’elle percevait entre la vie dans un pays en développement comme l’Inde et la vie au Canada, notamment en ce qui concerne les politiques de migration et les droits des femmes. Elle s’est servie de sa mineure en communication pour réfléchir aux implications des fausses nouvelles et à l’explosion des médias sociaux. De plus, elle a appris le français, une langue qu’elle maîtrisait mal en Inde.
Naima a mis à profit son expérience universitaire dans le cadre d’un poste de bénévolat, en occupant un poste de communication pour le Parti libéral de l’Ontario pendant les quatre semaines qu’ont duré les élections provinciales.
Aujourd’hui, elle tente de faire une percée dans le secteur du marketing et des communications.
Elle espère s’en servir comme tremplin pour produire un jour une série télévisée qui mettra en lumière les différentes pratiques des gens et des cultures du monde entier, le genre de perspective que sa transition de l’Inde au Canada lui a donné à l’âge de 18 ans.
« Ce que j’aime le plus au Canada, c’est la liberté d’exprimer ses opinions et de dire des choses sans être en proie au jugement ainsi que l’esprit d’ouverture qui consiste à écouter l’autre sans sentiment de colère ou de haine », déclare-t-elle.
Ses parents ont fait le voyage pour la voir traverser l’estrade et recevoir son diplôme lors de la cérémonie de remise des diplômes de Glendon, le samedi 18 juin, lors la première cérémonie de remise des diplômes en personne depuis la pandémie.
« J’espère que d’ici six à huit mois, je pourrai décrocher un emploi qui me passionne et m’enthousiasme. À ce moment-là, je pourrai commencer à chercher un appartement, un chez-moi et emménager. Je deviendrai vraiment adulte. »